J'ai interpellé une nouvelle fois les élus du conseil municipal de Sète afin de faire front commun et sortir l’Île de Thau de la mainmise des trafiquants.
Après de nombreux appels à l'action, la situation n'a pas changé. Si l'on ne veut pas que ce quartier devienne un petite paillade, il faut collectivement faire pression sur les pouvoirs publics pour qu’enfin des moyens soient donné à nos forces de l’ordre.
Mais la gauche préfère laisser pourrir la situation qu'abandonner sa mascarade antifasciste, et refuse obstinément d'unir les forces politiques pour le bien des Sétois. Elle méprise 44% des électeurs de la ville... sous prétexte de tolérance.
Combien d’appel à l’aide des riverains de l’île de Thau faudra-t-il pour qu’ils abandonnent leurs pudeurs de gazelles ?